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PRÉVISIONS DE POLITIQUES ECONOMIQUES ET DES COURS DES MATIÈRES PREMIÈRES

ACTUALITE


BCEAO : 1ère EDITION DE LA SEMAINE DE L’INCLUSION FINANCIÈRE DANS L’UEMOA, FOCUS JEUNES AU BURKINA FASO

« Inclusion financière : levier du développement économique et social », c’est sous ce thème que la première édition de la semaine de l’inclusion financière a lieu du 26 novembre au 1er décembre  2018 à travers les directions nationales de la Banque Centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO). A Ouagadougou, la Direction Nationale du Burkina Faso a mené une série d’activités de formation, de panels, de discussions et notamment des sessions de sensibilisation des jeunes sur l’inclusion financière.


Focus Jeunes


La problématique de l’accès et de l’utilisation des services financiers innovants offerts par les banques et les SFD aux jeunes et la problématique de l’entrepreneuriat des jeunes dans l’UEMOA ont fait l’objet de deux panels sous la modération du Pr Idrissa M. OUEDRAOGO, Professeur Titulaire de l’Université Ouaga II, le 30 novembre 2018 à Ouagadougou.

 

Des solutions innovantes telles que Coris money de Coris Bank International, LEO de United Bank of Africa (UBA) ont été présentées.

Pour susciter l’entrepreneuriat chez les jeunes, la Maison de l’Entreprise du Burkina Faso a communiqué sur des astuces dignes d’intérêt. Il a été soutenu comme alternative au chômage que « puisque beaucoup de jeune peine à trouver des emplois formels, il est important d’encourager l’entrepreneuriat pour mobiliser leur enthousiasme, leur énergie et leurs ambitions pour soutenir le développement économique (OIT).

Témoignages et partage d'expériences


Ce fut l’occasion pour des chefs d’entreprise qui ont fait leurs preuves de partager leurs expériences avec les jeunes. Il s’agit notamment de Roland SOW, Promoteur de la Compagnie Elitis Express et de l’Hôtel SESSIMAN, Président du réseau Leadership Innovant et Entrepreneuriat et de Youépéné Hermann NAGALO, Promoteur du Salon des Banques et PME de l’espace UEMOA et Administrateur Général de Burkina PME-PMI.

Les jeunes pourraient retenir que le schéma de l’entreprenariat n’est pas un chemin linéaire qui mène directement au succès, mais que parfois on peut tomber et se relever, à condition de pouvoir tenir compte de certains facteurs dont l’environnement dans lequel on évolue. 

Autres problématiques abordés


Au-delà du focus sur les jeunes, les activités commémoratives de la semaine de l’inclusion financière au Burkina Faso ont porté, entre autres, sur (i) des sessions de formation sur le cadre règlementaire de la monnaie électronique et des transferts rapides d’argent, au profit des SFD et EME ; (ii) l’accès des agriculteurs, des femmes et des PME aux services financiers ; (iii) le développement des services financiers innovants (finance islamique, mobile banking, Finteck, etc...); (iv) la foire de l'inclusion financière.

Par A. SIRY

 

 


01/12/2018
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WOTECH 2019: L’incubateur SIRA LABS forme, outille et récompense des femmes à l’entreprenariat numérique

Elles sont 96 femmes à prendre part à la première édition du programme Woman and Technologies (WOTECH) 2019 de l’Incubateur SIRA LABS à Ouagadougou et à Bobo Dioulasso. Ce 20 décembre 2019 à Ouagadougou, le jury après délibération a retenu un certain nombre de projets innovants de femmes, dans le domaine de l’agriculture, de la santé, de l’éducation, de l’eau et de l’environnement.


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Remise du premier prix à la lauréate Angélique YAMEOGO par le DG de l’ARCEP

 

Soutenu par le Ministère du Développement de l’Economie Numérique et des Postes, l’Agence d’Appui au Développement Autonome (ADA) du Luxembourg et Femme TIC et Développement Durable, le programme a été conduit avec succès. Durant huit séances de collaborations avec des experts (COLEXPS), concomitamment à Ouagadougou et à Bobo Dioulasso, dans les différents domaines ciblés (Agriculture, Education, Santé, Eau et environnement), des participantes ont su initier des projets innovants.

A l’issue des COLEXPS jalonnées de formations intenses en développement d’application web (html, CSS, PHP, WordPress), SIRA LABS a contribué à booster le niveau entrepreneurial des femmes dans le domaine des TIC.

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A l’occasion de la cérémonie de récompense, des prix d’encouragement, des attestations ont été remis aux lauréates. Et surtout des contrats d’incubation d’un an ont été décrochés par des femmes entrepreneuses.

Avant la proclamation des résultats, le jury a présenté les critères de notations des projets qui étaient en compétition.

 

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Photo de famille avec les lauréates

 

Les différents partenaires présents ont exprimé leur satisfaction à accompagner le programme qui n’est qu’à sa première édition.

 

Par A. SIRY

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24/12/2019
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PALMARÈS DE LA 4ème EDITION DU SALON DES BANQUES ET PME DE L'ESPACE UEMOA

La quatrième édition du Salon des Banques et PME de l’UEMOA s’est tenu à Bobo Dioulasso, capitale économique du Burkina Faso, du 08 au 11 novembre 2018, sous le thème « La PME dans l’UEMOA à l’ère du numérique ». Cette édition a rassemblé les PME et leurs managers venus de l’espace UEMOA et d’ailleurs. Placé sous la patronage du Ministre du Commerce de l’Industrie et de l’Artisanat, Monsieur Harouna KABORE, le salon a été parrainée par le Président de la Chambre de Commerce et d’Industrie des Hauts Bassins, Monsieur Lassiné DIAWARA et coparrainée par le Ministre du Développement de l’Economie Numérique et des Postes, Madame Hadja Fatoumata OUATTARA/SANON.


Cérémonie officiel d’ouverture


La cérémonie officielle d’ouverture du Salon a été marquée par le mot de bienvenu du Président du Comité d’Organisation, Hermann Y. NAGALO ; le mot du Premier Chevalier des PME, Idrissa NASSA, PCA de Coris Holding ; le mot du Président du Comité des Experts, Damo Justin BARRO, ancien Vice-Gouverneur de la BCEAO, le discours du Parrain Lassiné DIAWARA, du représentant de la Marraine et de Harouna KABORE, Patron de cette édition du Salon.

 

Initiative des PME elles-mêmes, en complément d’autres initiatives, le Salon des Banques et PME de l’espace UEMOA a pour objectif de permettre aux PME de la sous-région de se connaître, de partager les expériences, de renforcer leurs capacités, d’apprendre les meilleurs pratiques pour la résolution de leurs difficultés. Les principales innovations de cette édition sont (i) l'introduction de l'espace projet innovant et du (ii) SME networking.

 

Pour magnifier l’excellence, Idrissa NASSA Premier Chevalier des PME, Prix Tiémoko Marc GARANGO 2016 a annoncé le premier prix de l’innovation qui a été décerné pour la PME la plus innovante (voir palmarès PME Awards 2018) au prix de 1 millions de Franc CFA par Coris Bank International. Le 2ème prix de l’innovation a été offert par Orabank à la 2ème PME la plus innovante.

 

Le Président du Comité des Experts a plaidé pour un plan d’action approprié. Bobo Dioulasso abritant la 4ème édition du Salon est désormais considérée comme la Capitale des PME de l’espace UEMOA.

 

Avec 72 % de la population ayant accès à Internet au Burkina Faso, le représentant du Ministre du Développement Numérique et des Postes, Kisito TRAORE, Secrétaire Général est revenu les acquis en matière de développement du numérique au Burkina Faso.

 

Le Patron Harouna KABORE, Ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Artisanat, a salué la présence des banques et s’est réjoui que Bobo Dioulasso soit la capitale des PME. Il a rassuré que le Salon est porté à la Présidence du Faso, avec l’adoption d’un nouveau code des investissements, avant de déclarer ouvert la 4ème édition du Salon, en présence du Directeur de l’économie numérique de l’UEMOA.

 

Visite des stands


L’ouverture de la visite des stands a été inaugurée par la coupure du ruban. Les autorités visitant en premier les stands ont apprécié leur diversité : stands des institutions financières, des assurances, des organisations et associations et bien sûr des Petites et Moyennes Entreprises venues des régions du Burkina, de l’espace UEMOA et aussi internationales.

 

Livre d'or


«Je voudrais à travers ces lignes vous féliciter et vous encourager pour la tenue de la 4ème édition du Salon ici à Bobo Dioulasso au Burkina Faso. La qualité des participants et des thèmes montrent…la vision pour le développement des PME à l’ère du numérique. Si les fleuves sont le résultat de la convergence des ruisseaux, les PME sont la base pour notre pays des champions. Vous y contribuez depuis des années à travers les éditions du Salon. Bravo et vive le Salon » Harouna KABORE, Ministre du Commerce de l’Industrie et de l’Artisanat.

Cette pensée du Patron du Salon a été consignée dans le livre d’or du Salon, à l’issue de la visite des stands par les autorités.

 

 

Par A. SIRY

Palmarès du 4ème Salon

 


14/11/2018
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INTERNET, UN GRAND POLLUEUR : UNE REVOLUTION PACIFIQUE EN MARCHE

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Selon L’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie

 

-          10 milliards de mails sont échangés par heure  à travers le monde

-          Cet échange horaire coûte en énergie 50 gigawatt

  • Soit la production horaire de 15 centrales nucléaires ;
  • Soit 4000 tonnes de pétrole ;
  • Soit 4000 allers-retours Paris-New-York en avion ;

-          Google à lui seul exige autant d’énergie que la ville de Bordeaux en France.

-          La consommation énergétique  d’un seul data center  est équivalente  à la consommation énergétique  de trente mille habitants.

 

Demain quelle sera le coût énergétique d’Internet ?

 

-          5 % de l’énergie de la caroline du nord aux Etats Unis pompé par 3 data center : à savoir  Facebook, Apple et Google.

-          Utilisation de plus en plus du charbon pour alimenter Internet.

-          Alors qu’en brûlant,  le charbon dégage  50 fois plus de gaz carbonique (CO2) que les autres énergies fossiles.

-          Les cendres du charbon brûlé forment des dépôts toxiques qui contaminent les sols et les rivières.

-          L’extraction du combustible libère des résidus toxiques que le charbon avait emmagasinés depuis des millions d’années.

-          Les explosifs laissent eux dans leur sillage fer, aluminium, mercure qui contaminent les cours d’eau et tuent les poissons.

-          Voici le prix qu’il faut payer pour une énergie moins chère.

-          Voici la face noire de nos emails.

 

Une nouvelle conscience Email-Technologie- Ecologie en émergence !

 

-          On a besoin d’une révolution, une  insurrection énergétique.

-          Aussi, a-t-on besoin du leadership des acteurs d’Internet

-          S’auront-ils mettre leur technologie au profit de l’écologie ?

-          Des entreprises du web telles que Google clament de plus en plus leur valeur écologique.

-          Greenpeace, à l’endroit des entreprises du web, essaye d’éveiller les consciences sur le danger énergétique du web.

 

Comment alimenter les data center avec les énergies renouvelables ?

 

-          Un data center écologique de Google est  réalisé en Finlande pour profiter de la température glaciale comme climatiseur naturelle.

-          Apple construit une grande ferme solaire pour alimenter ces data center.

-          Problème majeur : Le stockage de l’énergie produite est difficile voire impossible.

-          Au point que Apple par exemple est devenue fournisseur d’énergie

 

Idée révolutionnaire et géniale de Jéremy Rifkin, un économiste américain 

 

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-          Internet n’est pas fait pour partager que de l’information.

-          On peut aussi utiliser Internet et s’inspirer du modèle de réseau Internet pour partager de l’énergie.

-          Si l’on y arrive ont créé une société nouvelle.

-          La nouvelle société dont rêve Jéremy Rifkin nécessite deux révolutions :

1. Celle de la communication dans laquelle nous y sommes déjà

2. Celle de l’énergie encore incomplète

-          Les bases de la deuxième révolution sont illustrées et expérimentées dans une ville de 6500 habitants (Montdidier, une commune Française) 

  • Une des Maires de cette ville décide de rendre sa commune entièrement indépendante en énergie.
  • Elle fait construire une ferme de panneau solaire et 4 éoliennes.
  • Mais le problème de stockage de l’énergie persiste toujours.
  • Un dispositif a été mis en place pour que les consommateurs soient informés des aléas climatiques.
  • Etape 1. Un compteur électrique individuel et intelligent  collecte les données énergétiques de chaque habitant pour étudier l’écart entre la consommation individuelle et la fourniture énergétique de la ville
  • Etape 2. Un boitier pilotera les appareilles domestiques en fonction de l’offre énergétique : Boitier qui constitue la première pierre d’un réseau intelligent de l’énergie
  • On passe d’une société où l’énergie est produite par des centrales (nucléaires, et hydrauliques) et acheminée vers les maisons sans communication (énergétique) entre elles,

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  • A une nouvelle société où les différentes maisons deviennent productrices et consommatrices d’énergie à l’image du réseau d’interconnexion des ordinateurs (Internet).

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                      Réseau énergétique                                              Réseau Internet     

 

  • Les rôles sont partagés sur Internet et les ressources énergétiques sont mises en communs : Révolution prônée par RIFKIN
  • Cette révolution va bouleverser l’économie, la culture, la politique et même les relations de pouvoir
  • La 3ème révolution industrielle est alors en marche !

 

Abdoulaye SIRY

Les prévisions

 

Sources: Extraits d'un film scientifique de Coline Tison et Laurent Lichtenstein, Internet, la Pollution cachée, Camicas Productions, France Télévision

 


24/11/2015
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APPEL A COMMUNICATION, PREMIÈRE EDITION DES ASSISES NATIONALES DES JEUNES ÉCONOMISTES DU BURKINA FASO

APPEL A COMMUNICATION

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ASSISES NATIONALES DES JEUNES ECONOMISTES DU BURKINA FASO

 

PREMIERE EDITION

 THEME:

Les défis économiques du renouveau démocratique au Burkina Faso : contribution de la jeunesse à la réflexion sur l’agenda post transition

 

 -

Ouagadougou les 17 et 18 septembre 2015

 

 Pour télécharger l'appel à candidatures cliquez sur Appel à communications

 

 


10/08/2015
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LES SPLENDIDES CAVERNES DE DOUNA

                 Les Splendides Cavernes de Douna    

 Version pdf

 Burkina Faso/ Region des Cascades/ Province de la Léraba

 

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Contacts du Guide Touristique :

Dounifalmé SON: +226 70970913

                                +226 76127761

 

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Faites y un tour et visitez, en plus, d’autres sites touristiques tels que les pics de Sindou, le village troglodyte de Négéni, les cascades de Banfora et le lac Tingrela.


14/07/2015
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VISA POURRAIT INTEGRER LE BITCOIN ET LES CRYPTOMONNAIES

Les cryptomonnaies sont actuellement au centre de toutes les préoccupations dans les domaines de la finance, mais également des systèmes de paiement. Une adoption en cours qui pourrait se mesurer par un système métrique d’opposition. Plus les anciens détracteurs se rapprochent, plus le processus est enclenché. Ce qui fait de cette récente annonce du patron de Visa une sorte de coup de tonnerre dans le domaine. 

 

L’information nécessite d’en relire deux fois la source afin de s’assurer qu’elle est bien réelle. Car elle fait état de ce qui pourrait bien être un tournant dans le domaine de l’adoption des cryptomonnaies. Cela en relation à son utilisation effective comme un moyen de paiement. Le tout quelles que soient les velléités d’opposition des organismes mondiaux de régulation.

En cause le patron de la société Visa, leader incontesté dans le domaine des paiements et services financiers. Et qui se trouve déjà en relation aux cryptomonnaies, mais d’une manière que l’on pourrait qualifier de détournée. Car de nombreuses cartes portent déjà son estampille dans le cadre d’offres développées par des partenaires. Mais aucune place ne leur a encore été faite sur son propre réseau de paiement. Et cela pourrait changer…

Visa pourrait intégrer les cryptomonnaies

C’est à l’occasion d’une intervention dans le cadre du rendu des résultats de l’année 2020 que le patron de Visa s’est exprimé sur le sujet. Cela dans un contexte actuel qui a tendance à faire passer les détracteurs des cryptomonnaies pour des dinosaures sans avenir. Une réalité qu’il confirme ici sans équivoque.

Visa intègre USDC

 

« Nous pensons que nous sommes dans une position unique pour aider à rendre les cryptomonnaies plus sûres, plus utiles et plus applicables pour les paiements grâce à notre présence mondiale, notre approche de partenariat et notre marque de confiance. » – Alfred Kelly, PDG de Visa

Une réalité qui pourrait donc faire entrer le Bitcoin comme moyen de paiement aux côtés des 160 monnaies fiduciaires que compte le réseau de paiement de Visa. Cependant, il semble que cet engouement soit pour le moment plus porté sur les monnaies de banques centrales de type CBDC. Mais sans exclure une intégration plus large qui, quoi qu’il arrive, n’arrivera pas avant « plusieurs années. »

 

cryptoactu.com

 

 

 

01/02/2021
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FOIRE DES PRODUITS BIO : LES PRODUITS FORESTIERS NON LIGNEUX TRANSFORMÉS A l’HONNEUR

Des produits sains et bios, c’est ce que la Foire des produits biologiques réserve à la population à l’Institut Panafricain pour le Développement Afrique de l’Ouest et du Sahel (IPD-AOS) non loin de l’échangeur de l’Est à Ouagadougou. Du 21 au 24 décembre 2020 et de 9h à 19h, c’est l’occasion de faire des réserves de produits sains pour agrémenter la fin de l’année et à faire goutter par vos invités.


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Les exposants venus de diverses régions du Burkina Faso livrent au public des produits transformés, des légumes bio SPG et des Produits Forestiers Non Ligneux (PFNL) transformés.

  • Du piment au moringa
  • Du soumbala au moringa
  • De l’huile de moringa
  • Du beurre de karité Bio
  • Du thé de moringa et de crysanthélium
  • Du miel
  • Des jus et vin (de liane, de pain de singe, de bissap, etc…)
  • Etc….

 

Par A. SIRY

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22/12/2020
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L'ARGENT QUI TUE

Notre argent, via nos caisses de pension, finance aujourd’hui la production de bombes et d’armes chimiques qui sont utilisées dans différents pays autour du globe. Il ne faut pas nous voiler la face : la réalité, c’est que notre argent tue ! En tant que ressortissant d’un pays qui revendique sa tradition humanitaire, je n’en suis pas vraiment fier. C’est pour remédier à cette situation que l’initiative “Pour une interdiction du financement des producteurs de matériel de guerre” vise deux choses. Premièrement, interdire à la Banque nationale suisse ainsi qu’aux institutions de prévoyance de financer les entreprises dont plus de cinq pour cent du chiffre d’affaires annuel provient de la production de matériel de guerre; deuxièmement, mettre en place des normes similaires sur les investissements des banques et des assurances aux niveaux national et international.


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Un commerce mortifère

Les Verts s’engagent depuis leur création pour la paix et le désarmement dans le monde. Ils ont soutenu ces dernières décennies les initiatives populaires visant cet objectif, et il en va de même cette fois-ci.

 

Les institutions financières suisses comme la Banque nationale ou les grandes banques investissent des milliards chaque année dans ce commerce mortifère

A chaque fois qu’une initiative s’oppose à l’exportation ou à la production de matériel de guerre, c’est toujours la même rengaine, les mêmes arguments que l’on entend de la part des opposants. Cette initiative n’échappe pas à la règle: la Suisse serait trop petite pour faire bouger les choses au niveau international; ce serait trop compliqué au niveau administratif; nos retraites seraient en danger, car nos caisses de pension ne pourraient plus investir comme elles le souhaitent; les emplois seraient menacés dans l’industrie et la finance.

Dans le cas de l’initiative “pour une interdiction du financement des producteurs de matériel de guerre”, ces arguments ne tiennent tout simplement pas la route. Ils sont là uniquement pour faire peur à la population, qui témoigne de la sympathie pour l’initiative. Ils sont révélateurs de la vision des opposants, qui, une fois encore, privilégient les aspects économiques et financiers aux aspects éthiques et de responsabilité sociale.

 

La Suisse joue un rôle décisif au niveau mondial

En interdisant le financement de l’industrie de l’armement, l’initiative vise à contribuer à ce que la Suisse ne participe pas de manière indirecte aux conflits actuels et à prévenir des guerres futures. Cela peut paraître une goutte d’eau dans l’océan, mais ce n’est pas le cas: je vous rappelle que la Suisse est une des plus importantes places financières mondiales et joue ainsi un rôle décisif. Les institutions financières suisses comme la Banque nationale ou les grandes banques investissent des milliards chaque année dans ce commerce mortifère. En 2018, la place financière suisse a investi pas loin de 10 milliards de dollars américains dans des entreprises productrices d’armements, soit plus de 1000 dollars par habitant·e suisse. Par l’importance de sa place financière, la Suisse doit montrer l’exemple et entraîner dans son sillage d’autres pays.

 

Double jeu

Cette initiative vise aussi la cohérence avec le principe de neutralité, pierre angulaire de notre politique extérieure. Or, aujourd’hui, la Suisse joue un double jeu. D’un côté, elle se veut championne de la promotion de la paix dans le monde,  de l’autre, elle vend des armes. Où est la logique?

La cohérence, c’est de voter OUI à cette initiative. Pour que notre argent ne serve pas à financer du matériel de guerre !

 

Lire la suite sur le blog de Christophe Clivaz


05/11/2020
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BICIA BURKINA ET BICI GUINEE PASSENT SOUS LE GIRON DU GROUPE BANCAIRE VISTA DE SIMON TIEMTORE

La Banque internationale pour le commerce, l'industrie et l'Agriculture du Burkina Faso (BICIAB) et la Banque Internationale pour le Commerce et l'Industrie de la Guinée (BICIGUI) sortent définitivement du réseau de BNP Paribas pour passer sous le giron du groupe bancaire Vista de l'homme d'affaires burkinabè Simon Tiemtoré. Le processus d'acquisition des participations majoritaires de la banque française dans ces deux établissements vient d'être finalisé, indique un communiqué de Vista transmis à La Tribune Afrique, sans toutefois préciser les termes de ce deal en négociations depuis plus d'un an.


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Entrée dans l'UEMOA et leadership en Guinée

Cette opération élargit ainsi l'empreinte de Vista en Afrique de l'Ouest, l'introduisant sur le marché de l'UEMOA via le Burkina Faso. Le groupe bancaire était jusque-là implanté en Sierra Léone avec 19 agences, en Gambie avec 9 agences et en Guinée, son plus grand marché, avec 22 agences. Jusque-là cinquième banque sur le marché guinéen, le groupe Vista revendique le leadership « tant en termes d'actifs total que de nombre d'agences », après l'intégration complète de la BICIGUI à son réseau. Ici, Vista (52% des parts) partagera le tour de table avec l'Etat guinéen, Proparco, les investisseurs privés guinées et le personnel de la banque.

 

"L'acquisition de la BICIGUI et de la BICIAB nous permet également de bénéficier de leur excellent portefeuille de clients 'high net worth' et de grandes entreprises de renom, qui vient s'ajouter à notre offre actuelle, davantage axée sur les petites et moyennes entreprises (PME) et la banque de détail », a déclaré Simon Tiemtoré, président du groupe Vista et président de Lilium Capital, société d'investissement basée à New York et dédiée à l'Afrique. « Nous avons désormais l'envergure nécessaire pour mettre en œuvre notre stratégie commerciale, orientée vers le digital et les échanges intra-africains, en Afrique de l'Ouest », a-t-il ajouté, se réjouissant de cette nouvelle configuration offre des chances à son groupe bancaire de tirer de parti de la Zone de libre-échange continentale (Zlecaf) dont l'Union africaine a prévu l'entrée en vigueur est prévue le 1er janvier 2021.

 

Objectif: 15 pays d'Afrique d'ici 2025

C'est au printemps 2019 que le français BNP Paribas a annoncé sa stratégie de recentrage en Afrique avec, à la clé, la cession de cinq filiales africaines. A la base, Simon Tiemtoré ambitionnait de racheter les filiales burkinabè, guinéenne, et malienne. Cette dernière a finalement été acquise par le groupe ivoirien Atlantic Financial Group de l'homme d'affaires Dossongui Koné.

 

Accompagné par Afreximbank, Deloitte et le cabinet d'avocats Astura, le groupe Vista -qui a vocation à être un groupe panafricain- estime qu'il ne s'agit que d'une première étape de son plan stratégique d'expansion à travers le continent. Dans un entretien avec LTA en octobre 2018, Tiemtoré se voulait d'ailleurs très explicite à ce propos : « l'objectif de notre Groupe bancaire, Vista Bank, est d'être établi dans 15 pays d'ici 2025. Notre priorité sera de couvrir d'abord l'ensemble de l'Afrique de l'Ouest. Nous nous tournerons ensuite vers le marché d'Afrique centrale, cela nous permettra d'avoir une empreinte dans les trois régions économiques majeures : la ZMAO, l'UEOMOA et la CEMAC que nous croyons être des régions stratégiques de croissance et de développement sur le Continent ».

 

Source: afrique.latribune.fr/finances/banques-assurances


19/10/2020
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AFRICA PULSE : SOLUTIONS DE LA BANQUE MONDIALE AU COVID-19, RÉGION AFRIQUE

Basé sur des techniques d’analyse économique rigoureuses, le Bureau de l’économiste en chef du Groupe de la Banque mondiale pour la région Afrique, est parvenu à des recommandations de politiques économiques pour contrer la pandémie du COVID-19. Ces politiques ont été annoncées à l’occasion de la présentation du 21ème numéro d’Africa’s Pulse, rapport semestriel consacré à la conjoncture économique africaine.


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Avant de présenter les solutions, l’économiste en Chef de la Banque mondiale région Afrique, Albert ZEUFACK a fait le point sur les conséquences de la pandémie en Afrique subsaharienne.

  • La croissance en Afrique subsaharienne a été touchée de plein fouet par la pandémie de coronavirus et devrait se rétracter fortement entre 2019 et 2020, passant de 2,4 % à une fourchette comprise entre -2,1 et -5,1 %, plongeant la région dans sa première récession depuis plus de 25 ans.
  • « La pandémie de Covid-19 teste les limites des sociétés et des économies du monde entier, et elle risque de porter un coup particulièrement dur aux pays africains », a déclaré Hafez Ghanem, vice-président de la Banque mondiale pour l’Afrique.
  • L’analyse chiffre les pertes de production liées à la pandémie de Covid-19 entre 37 et 79 milliards de dollars en 2020, sous l’effet conjugué de plusieurs facteurs : la désorganisation des échanges et des chaînes de valeur, qui pénalise les exportateurs de produits de base et les pays fortement intégrés dans les filières mondiales ; la réduction des flux de financement étrangers (transferts de fonds des migrants, recettes touristiques, investissements directs étrangers, aide étrangère) et la fuite des capitaux ; l’impact direct de la pandémie sur les systèmes de santé ; et les perturbations consécutives aux mesures de confinement et à la réaction de la population.

 

Au titre des recommandations de politiques économiques, une réponse politique africaine différenciée est absolument nécessaire

  • Adapter la réponse politique de manière à refléter les caractéristiques structurelles des économies africaines et les contraintes particulières auxquelles sont confrontés les responsables politiques, notamment le rétrécissement considérable de l’espace budgétaire et la forte diminution de la capacité opérationnelle de réponse ;africapulse-numero-21
  • Centrer la stratégie sur le double objectif de sauver des vies et protéger les moyens d’existence ;
  • Mettre en œuvre un programme de protection sociale pour aider les travailleurs, en particulier ceux du secteur informel ;
  • Minimiser les perturbations dans les chaînes d’approvisionnement alimentaire intra-africaines, et maintenir ouverts les couloirs logistiques pour éviter l’apparition d’une crise alimentaire dans la région ;
  • Planter les graines d’une plus grande résilience ;
  • À cause de la détérioration des situations budgétaires et de la vulnérabilité accrue de la dette publique, les gouvernements d’Afrique subsaharienne ne disposent que de peu de marge de manœuvre pour mettre en place des politiques budgétaires pour lutter contre la crise du COVID-19 ;
  • Un allégement temporaire de la dette sera nécessaire pour lutter contre le COVID 19 tout en préservant la stabilité macro-économique dans la région.

 

Télécharger le Rapport Africa's Pulse, AVRIL 2020 I VOLUME 21

 

 

Banque mondiale région Afrique

 

 

 

 


11/04/2020
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ASSOCIATION TIETAA MAIN TENDUE: Don de matériels à l'Hôpital Pédiatrique Charles de Gaulle au profit des enfants atteints de cancer

Pour soulager le fardeau des personnes notamment les enfants et leurs familles affectées par le cancer, l’association TIETAA Main Tendue a procédé à un don de matériels à l’Hôpital Pédiatrique Charles de Gaulle ce jeudi 06 février 2020 à Ouagadougou. Ils sont une centaine d’enfants malades à bénéficier de ce don composé de matériels médicaux et sanitaires.


1 Elisabeth Bonkoungou/Somé présidente de l’association Tiétaa main tendue

 

L’assistance et l’accompagnement des personnes affectées par le cancer est l’un des objectifs de Tiètaa main tendue qui vise à lutter contre le cancer sous toutes ses formes. Tiètaa main tendue est une association à but non lucratif, apolitique et non confessionnelle, créée en décembre 2018 par des femmes et des hommes interpellés par la propagation inquiétante du cancer au Burkina Faso.

La cérémonie officielle de remise du don a été marquée par la présence de la Directrice Générale de l’Hôpital Pédiatrique Charles de Gaulle, représentée et la Responsable de l’Unité d’Oncologie, aussi représentée.

 

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Les représentants de la Directrice Générale de l’Hôpital et de l'Unité de l'Oncologie ont exprimé leurs sentiments de satisfaction et ont indiqué que ce don est réconfortant. Ils ne se sentent donc pas orphelins dans le combat qu’ils mènent au quotidien contre le cancer. Ils se sont réjouis de voir qu’il y a des associations comme TIETAA qui leur tendent la main.

 

A l’issue de la remise officielle du matériel, les participants ont procédé à une visite des enfants malades qui ont effectivement reçus leurs kits des mains des membres de l’association Tiètaa. Tiètaa tend la main à toute organisation ou appui de bonne volonté pour venir à bout du cancer.

 

 

 

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Plus d’une centaine d’enfants atteints de cancer sont suivis par les médecins de l’Hôpital Pédiatrique dont 15 internés à l’Unité d’Oncologie. Les autres sont à l’externe, mais en fonction du stade où ils se trouvent, ils reviennent hebdomadairement, mensuellement ou trimestriellement. Il y a beaucoup qui ont terminé leur traitement et qui sont suivis.

 

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A. SIRY

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07/02/2020
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INCLUSION FINANCIÈRE: LA BCEAO AU BURKINA DÉCAISSE PRES DE 3 MILLIARDS DE Franc CFA POUR LE PROGRAMME DE 2020

 

Le président du Comité national burkinabè de suivi de la mise en œuvre de l’inclusion financière, Idrissa Compaoré, a animé une conférence de presse le jeudi 28 novembre 2019. C’était dans le cadre de la deuxième édition de la semaine régionale de l’inclusion financière dans l’UEMOA tenue du 23 au 27 novembre 2019. Idrissa Compaoré a annoncé des mesures prises dans le cadre de cette semaine qui se poursuit au Burkina Faso jusqu’au 30 novembre avec la foire de l’inclusion financière.

Inclusion financière : La BCEAO au Burkina décaisse près de 3 milliards de F CFA pour le programme de 2020

Après l’ouverture à Dakar le 18 novembre 2019 pour une semaine, la semaine régionale de l’inclusion financière se poursuit au Burkina Faso jusqu’au 30 novembre 2019, a annoncé le conférencier Idrissa Compaoré. Il a précisé que la semaine régionale de l’inclusion financière est une activité organisée par la Banque centrale des États de l’Afrique de l’ouest (BCEAO), dans le cadre de la mise en œuvre de la stratégie régionale de l’inclusion financière (SRIF) adoptée depuis juin 2016 en Conseil des ministres de l’Union, pour une durée de cinq ans.

C’est dans le cadre de cette semaine, que le Comité national de suivi de la mise en œuvre (CNSMO) au Burkina Faso, conduit par Idrissa Compaoré, a animé la conférence pour communiquer les activités organisées à cet effet. Un atelier sur la digitalisation des paiements des États et les chaines de valeurs agricoles s’est tenu le 27 novembre, suivis d’ un deuxième atelier le 28 novembre sur les innovations en matière de produits et services financiers et d’une sensibilisation le 29 novembre sur l’éducation financière et la protection des consommateurs. La semaine sera clôturée le 30 novembre au niveau national, par une foire de l’inclusion financière. Tel a été le programme annoncé par le conférencier pour la semaine au Burkina Faso, qui nécessite selon lui une implication de toutes les couches socioéconomiques.

 

Il définit ensuite l’inclusion financière comme étant un système facilitant l’accès pour les individus et les entreprises, à toute une gamme de services financiers fournis à prix raisonnable et de façon responsable. Au sein de la zone UEMOA, les taux sont relativement très faibles et méritent des politiques de développement qui réservent une place prépondérante à l’inclusion financière des populations, se convainc Idrissa Compaoré.

Selon lui, le taux de bancarisation au Burkina est de 21% environ et les taux d’utilisation des services de microfinance et global sont respectivement de 20% et de 41,29%. C’est pourquoi la stratégie régionale d’inclusion financière a été lancée pour permettre aux populations qui sont exclues des systèmes financiers bancaires, d’avoir accès à une gamme variée de services financiers pour le financement de leurs activités économiques.

La promotion du digital et l’éducation financière sont les axes majeurs pour le CNSMO, qui seront particulièrement abordés à travers le programme 2020 de l’inclusion financière au Burkina Faso. C’est pourquoi, précise le conférencier, au-delà de la semaine sur l’inclusion financière, c’est environ 2,9 milliards de F CFA que la BCEAO a décaissés pour le financement du programme d’activités de 2020 sur l’inclusion financière, en collaboration avec le ministère de l’Economie, des finances et du développement du Burkina Faso.

 

L’objectif global étant d’assurer au bout des cinq ans, un accès à une gamme diversifiée de produits et services financiers adaptés et à coûts abordables, à au moins 75% de la population adulte, comprenant les femmes, les jeunes, le monde rural, les déscolarisés et les PME.

Les politiques de développement étant un tout, pour venir à bout des problèmes rencontrés dans les économies sous-développées, elles doivent prendre en compte aussi bien le financement des activités des entreprises, que l’encadrement des individus dans des domaines tels que l’éducation financière.

 

Etienne Lankoandé
Lefaso.net

 

 


28/11/2019
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1ère EDITION DE L'ECOLE NATIONALE SUR LA GOUVERNANCE DE L’INTERNET A BOBO DIOULASSO: DES STAGIAIRES RENFORCENT LEURS COMPÉTENCES

Organisée par l’Initiative pour la Gouvernance de l’Internet au Burkina Faso (IGF Burkina) en partenariat avec le Ministère de l’Economie Numérique et des Postes, à travers la DGTIC, la première édition de l’école nationale sur la gouvernance de l’Internet se tient du 18 au 20 novembre 2019 à Bobo Dioulasso. Cette initiative nationale fait suite à la première édition de l’Ecole Ouest Africaine sur la Gouvernance de l’Internet  (WASIG) tenue en 2018 à Ouagadougou.


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Vue de participants

Couplé avec la septième édition du Forum National sur la Gouvernance de l’Internet qui se tient le 21 novembre 2019 aussi à Bobo Dioulasso, sous le thème « Internet et lutte contre le terrorisme : Enjeux et perspectives », cette première édition est une occasion pour une quarantaine de stagiaires de s’imprégner de :

  • l’Histoire de l’Internet ;
  • des politiques et règlementation d’Internet ;
  • du débat sur la gouvernance de l’Internet ;
  • des ressources Internet critiques ;
  • la cyber sécurité et cybercriminalité ;
  • la gouvernance de l’internet et questions sociales ;
  • le développement durable et enjeux des technologies émergentes

De la compréhension de l’écosystème de l’Internet à des séances pratiques d’échanges en groupe, les participants ont dû mesurer l’ampleur et les enjeux liés à la gouvernance de l’Internet.

 

     Par A. SIRY

 

 


20/11/2019
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SANTE : L’ASSOCIATION « TIETAA MAIN TENDUE » ENGAGÉE POUR LUTTER CONTRE LE CANCER

Dans le monde, plus de 18 millions de nouveaux cas de cancer ont été détectés en 2018, avec plus de neuf millions et demi de décès par an dixit Dr Paskisba Ali Ouédraogo, vice-président de l’association Tiètaa main tendue. C’est pour cela que l’Association Tièta main tendue présentée à Ouagadougou, ce vendredi 16 août 2019,  à travers une conférence de presse, s’est engagée à lutter contre ce fléau. Pour soulager le fardeau des personnes affectées et leurs familles, l’association a adopté un plan d’action 2019, dont la collecte de fonds.

          Elisabeth Bonkoungou/Somé présidente de l’association Tiétaa main tendue

Le cancer, selon les membres de l’association, fait partie des maladies négligées par bon nombre de citoyens, alors que les risques associés et les conséquences sont le plus souvent incalculables. Tiètaa main tendue a donc pour objectif de contribuer à lutter contre le cancer sous toutes ses formes, à travers :

  • La sensibilisation et la formation sur la prévention, le dépistage et les traitements liés au cancer ;
  • L’assistance et l’accompagnement des personnes affectées par le cancer ;
  • Le plaidoyer auprès des systèmes de santé, auprès des structures publiques et privées pour une meilleure prise en charge des patients atteints de cancer.

                   Membres du bureau exécutif

     

    Tiètaa main tendue est une association à but non lucratif, apolitique et non confessionnelle, créée en décembre 2018 par des femmes et des hommes interpellés par la propagation inquiétante du cancer au Burkina Faso. Elle est régie par la loi no 064-2015/CNT du 20 octobre 2015 portant liberté d’association au Burkina Faso.

    Solidarité-Dévouement-Humanité sont les valeurs cardinales de l’Association, ouverte à égalité de droit à toute personne sensible aux questions relatives à la lutte contre le cancer, sans distinction d’ethnie, de sexe, de religion, d’appartenance sociale et d’opinion politique qui adhère aux statuts de l’association et s’engage à respecter les dispositions du règlement intérieur.

                        Participants

    Les axes d’intervention de Tiètaa Main tendue sont centrés sur (i) la visibilité (ii) la sensibilisation et (iii) l'assistance.

     

    De la visibilité, Tiètaa main tendue cherche à nouer le contact avec les médias et à entrer en contact avec des associations, ONG, Institutions publiques et privées sensibles à la lutte contre le cancer.

    De la sensibilisation, une conférence publique sur les maladies cancéreuses, une caravane ou campagne de sensibilisation, une émission radio télé sont à mener au cours de l’année 2019.

                           Participants

    Les ressources de l’association proviennent principalement des droits d’adhésion, des cotisations annuelles, des subventions, des dons et legs et de toute autre ressource autorisée par la loi.

     

    A. SIRY

    www.eprevision-bf.blog4ever.com

 


18/08/2019
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